Deuxième volet des portraits de l’équipe de France féminine. A l’honneur aujourd’hui, Amélie Goudjo et Nina Kanto,deux piliers des Femmes de Défis !


La première est capitaine de l’équipe de France et symbolise la stabilité, la seconde est une guerrière qui ne renonce jamais. Retrouvez les portraits d’Amélie Goudjo et de Nina Kanto.AMELIE GOUDJO : LA PERSEVERANTE
C’est peut-être l’histoire d’un acte manqué. C’est en tout cas une histoire atypique. Amélie Goudjo n’a jamais vécu le moindre rassemblement avec les jeunes pousses de son âge. Jamais imaginé marivauder un jour avec les grandes. Elle s’était ouverte à la discipline à quinze ans, âge auquel d’autres songent déjà à changer d’horizon. Elle avait très vite senti qu’il serait surement plus judicieux de consacrer l’essentiel de son énergie aux études. Elle avait bien sûr des rêves, à peine susurrés. Des rêves d’ailleurs. De podiums. Alors la Lyonnaise a composé. Vécu sa passion avec retenue. Décroché son DESS Sociologie en développement local. Et beaucoup réfléchi à la vie, à ses équilibres. Jusqu’à choisir la voie du professionnalisme, en 2003. A peine deux ans plus tard, elle était invitée à revêtir le maillot bleu.Lire la suite en cliquant sur l’image

NINA KANTO : L’INDOMPTABLE
Alors, des larmes coulèrent sur son doux visage. C?était le mercredi 7 décembre 2005, dans la patinoire du Yubileyny Sports Palace de Saint-Pétersbourg, une enceinte sans âme reconvertie en terrain de handball pour les besoins du premier championnat du monde organisé dans une seule et même ville. Cameroun ? France. Moment solennel, presque irréel. Les hymnes sont joués. Celui du Cameroun, puis celui de la France. Nina Kanto semble ailleurs. A quoi pense-t-elle ? A ce pays d’Afrique qui l’a vu naître et qu’elle a quitté si petite avec sa mère, son frère et ses deux s?urs pour Noisy-le-Grand ?Lire la suite en cliquant sur l’image