Les sourires accrochés aux lèvres. L’humeur à la fête. Hier soir, le CNOSF s’est transformé en temple du mondial féminin. En panthéon des Bleues, des Femmes de défis. Le hall avait été, pour l’occasion, ornementé de clichés des joueuses de l’équipe de France. D’affiches, de souvenirs. Les filles, élégantes dans leurs tailleurs noirs, leurs chemisiers blancs, illuminaient l’ensemble de leur présence. Après que la ministre des sports se soit installée dans l’amphithéâtre qui allait accueillir la soirée, elles ont fait leur entrée. En musique. Sous les applaudissements des convives. Sous les flashs des photographes. Elles se sont assises. Puis elles ont écouté les discours. Celui d’Henri Sérandour et de Roselyne Bachelot d’abord. Enthousiaste, éprise, passionnée, la ministre n’a rien caché de son affection pour ces joueuses. Ni des espoirs qu’elle placait en elles. Surtout celui de voir le sport féminin se saisir de la place qui lui revient. Puis le président de la fédération française de handball, André Amiel, s’est exprimé, avec émotion. Avant de céder la place à un Philippe Bana (le DTN) électrique, exalté et débordant d’amour pour les Femmes de défis qui se trouvaient devant lui. Les filles, elles, ont rit en entendant leur illustre capitaine, Stéphanie Cano, affirmer qu' »elles s’en fichaient un peu des matches de préparation. Qu’elles voulaient jouer le mondial. » Elles ont été émues par les films, retracant les plus belles pages de leur histoire commune. Après avoir partagé un cocktail dînatoire, elles ont repris le chemin de l’hôtel. Ce matin, le groupe partait pour Dunkerque en bus. Dernière ligne droite avant le grand rendez-vous du mondial.
Les sourires accrochés aux lèvres. L’humeur à la fête. Hier soir, le CNOSF s’est transformé en temple du mondial féminin. En panthéon des Bleues, des Femmes de défis. Le hall avait été, pour l’occasion, ornementé de clichés des joueuses de l’équipe de France. D’affiches, de souvenirs. Les filles, élégantes dans leurs tailleurs noirs, leurs chemisiers blancs, illuminaient l’ensemble de leur présence. Après que la ministre des sports se soit installée dans l’amphithéâtre qui allait accueillir la soirée, elles ont fait leur entrée. En musique. Sous les applaudissements des convives. Sous les flashs des photographes. Elles se sont assises. Puis elles ont écouté les discours. Celui d’Henri Sérandour et de Roselyne Bachelot d’abord. Enthousiaste, éprise, passionnée, la ministre n’a rien caché de son affection pour ces joueuses. Ni des espoirs qu’elle placait en elles. Surtout celui de voir le sport féminin se saisir de la place qui lui revient. Puis le président de la fédération française de handball, André Amiel, s’est exprimé, avec émotion. Avant de céder la place à un Philippe Bana (le DTN) électrique, exalté et débordant d’amour pour les Femmes de défis qui se trouvaient devant lui. Les filles, elles, ont rit en entendant leur illustre capitaine, Stéphanie Cano, affirmer qu' »elles s’en fichaient un peu des matches de préparation. Qu’elles voulaient jouer le mondial. » Elles ont été émues par les films, retracant les plus belles pages de leur histoire commune. Après avoir partagé un cocktail dînatoire, elles ont repris le chemin de l’hôtel. Ce matin, le groupe partait pour Dunkerque en bus. Dernière ligne droite avant le grand rendez-vous du mondial.