Hier soir, après le retour à l’hôtel, Véronique Pecqueux-Rolland a reçu, pour la première fois depuis le début du mondial, le boulet d’or. Le jury l’a choisie pour avoir pris deux minutes à la fin du match. La pivot tricolore avait alors sauté de joie du banc et était rentrée sur le terrain. L’arbitre lui avait alors signifié que le temps n’était pas encore écoulé et l’avait exclue temporairement. Mais Véro a aussi reçu, des mains de Claude Onesta ce midi, le schnek d’or. Un nouveau trophée qui récompense lui le plus beau geste de la journée. Et le un contre un de Véronique dans les dernières secondes de la rencontre face à la Macédoine méritait au moins ça. Le staff tricolore, à l’initiative de Sébastien Gardillou, a souhaité créer cette nouvelle récompense. Pourquoi le schnek ? Ceci part d’une blague entre Olivier Krumbholz, le lorrain et le reste du staff.
Hier soir, après le retour à l’hôtel, Véronique Pecqueux-Rolland a reçu, pour la première fois depuis le début du mondial, le boulet d’or. Le jury l’a choisie pour avoir pris deux minutes à la fin du match. La pivot tricolore avait alors sauté de joie du banc et était rentrée sur le terrain. L’arbitre lui avait alors signifié que le temps n’était pas encore écoulé et l’avait exclue temporairement. Mais Véro a aussi reçu, des mains de Claude Onesta ce midi, le schnek d’or. Un nouveau trophée qui récompense lui le plus beau geste de la journée. Et le un contre un de Véronique dans les dernières secondes de la rencontre face à la Macédoine méritait au moins ça. Le staff tricolore, à l’initiative de Sébastien Gardillou, a souhaité créer cette nouvelle récompense. Pourquoi le schnek ? Ceci part d’une blague entre Olivier Krumbholz, le lorrain et le reste du staff.