Bien moins en place que la veille face à la Roumanie, plus fébriles aussi, les Tricolores ont finalement trouvé les ressources dans les dix dernières minutes. Mais doivent en grande partie leur salut à Amandine Leynaud, colossale dans sa zone.
Bien moins en place que la veille face à la Roumanie, plus fébriles aussi, les Tricolores ont finalement trouvé les ressources dans les dix dernières minutes. Mais doivent en grande partie leur salut à Amandine Leynaud, colossale dans sa zone.